Code de déontologie du bilan de compétences

1 – Le consultant en bilan de compétences s’engage à tout mettre en œuvre pour accompagner les bénéficiaires dans leur repositionnement professionnel, en respectant les 3 phases du bilan de compétences, sur une durée maximum de 24 heures.

2 – Il s’engage à travailler avec une méthode, des outils, une formation, une connaissance du marché de l’emploi et des acteurs du marché économique, un réseau professionnel pour les investigations métiers.

3 – Tous les outils utilisés sont en lien avec un accompagnement à visée professionnelle 

4 – Le consultant accepte une supervision de sa pratique professionnelle, un contrôle de suivi de ses prestations et de qualité de ses interventions.

5 – Nos Valeurs     

  • Le respect de la personne accompagnée dans sa dignité et son authenticité
  • Une démarche éthique, respectueuse des lois, des droits et des devoirs
  • La recherche et la valorisation des talents pour chaque individu en adéquation avec un marché de l’emploi
  • L’engagement concernant le respect de consentement, de confidentialité et de neutralité.
    • Consentement : tout bilan effectué à la demande de l’employeur requiert le consentement du salarié.      
    • Confidentialité : le consultant en bilan de compétences est astreint au secret professionnel pour tout le contenu des entretiens réalisés avec le bénéficiaire.     
      Le document de synthèse est remis exclusivement au bénéficiaire du bilan de compétences.           
    • Neutralité : Le consultant en bilan de compétences s’appuie sur des éléments mesurables. Sa posture de neutralité permet d’éviter les évaluations subjectives. L’accompagnement repose sur une co-construction constante et la confrontation avec le marché de l’emploi.      

6 – La garantie qualité et le respect de nos engagements concernent la mise en œuvre de tous les moyens disponibles pour atteindre les objectifs du bilan de compétences, à savoir :

  • Analyser ses compétences personnelles et professionnelles, ses aptitudes et ses motivations,
  • Définir son projet professionnel et, le cas échéant, un projet de formation,
  • Utiliser ses atouts comme un instrument de négociation pour un emploi, une formation ou une évolution de carrière.

7 – Le bénéficiaire est acteur de sa formation : 

  • L’objectif du bénéficiaire appartient au bénéficiaire,
  • Le consultant aide le bénéficiaire à définir ses propres objectifs. Il fixe des objectifs réalistes et réalisables, il n’induit pas ses propres souhaits.
  • L’accompagnement permet au bénéficiaire d’atteindre ses objectifs en prenant conscience de ses forces et de ses points d’amélioration. 
  • Les limites du travail d’accompagnement sont définies par la non-disponibilité, la non-adhérence au travail, l’émergence de conflits internes ou de résistance chez le bénéficiaire, pour qui ce travail nécessite un autre type d’accompagnement, ou pour qui ce travail n’est pas réalisable dans le contexte présent.

8 – Les objectifs de l’accompagnant sont limités au domaine professionnel

L’accompagnant identifie les ressources et potentiels du bénéficiaire à développer, en vue de réaliser son projet professionnel. Il ne prend pas en charge le traitement ou le soin psychologique des bénéficiaires. Le consultant peut cependant préconiser un accompagnement mieux adapté en complément de la démarche engagée